Citations

Pour quelles raisons vous sentez-vous attaché à ces langues ?

Enquête :
« Le rapport des Bretons au breton et au gallo »

Expression des 552 réponses à la question :
« Pour quelles raisons vous sentez-vous attaché(e) ou non à ces langues ? »

Avis positifs (492)

  1. Affection pour mes grands parents, intérêt pour la Bretagne
  2. Anti-globalisation, richesse des diversitées culturelles, attachement personnel …
  3. Appartenance au pays
  4. Appris dès le plus jeune âge
  5. Ar brezhoneg eo yezh ma familh, et le gallo est la langue d’où je vis.
  6. Ar poell mat!
  7. Ar sevenadur (yezh, sonnerezh, bouetaj, liammoù sokial, sport, istor…)
  8. Attaché du fait de mes origines, par soucis d’égalité et de reconnaissance du peuple breton et plus largement des minorités, parce que la mort d’une langue dans notre démocratie est révoltante et triste.
  9. Attaché oui car il s’agit d’un bout de notre Histoire commune mais peu attaché car malheureusement cette langue est vite oublié
  10. Attaché puisque ce sont la langue de nos grands parents
  11. Attachée pour la richesse culturelle
  12. Attachement à une culture qui comprend la langue bretonne, chant en kan ha diskan
  13. Attachement affectif par ma famille et par notion politique
  14. Attachement au gallo, car c’est la langue de mes grands parents
  15. Attachement local – identité, volonté de préserver une langue minoritaire
  16. Attachement patrimonial et familial
  17. Au breton car langue familiale à deux générations de moi, le gallo car j’habite en zone gallèse
  18. Au sujet du Breton : Mes racines, mon histoire, les mots et expressions entendues pendant mon enfance. La complexité et la beauté de la langue.
  19. Brezhoneg yezh-tad, yezh ar studioù, yezh ma micher ha yezh implijet gant ma dousig ! Yezh ar pemdez eo
  20. C’est drôle gallo
  21. C’est notre identité particulière, c’est la langue de mes grands-parents, celle de mon cœur!
  22. C’est étroitement lié à ma passion pour la musique bretonne de basse et de haute Bretagne
  23. C’est important de faire perdurer cette langue
  24. C’est l’histoire de notre région, c’est important de savoir d’où nous venons et pourquoi nous en sommes ici aujourd’hui.
  25. C’est la angue de mon pays et de mes ancetre
  26. C’est la culture bretonne donc c’est important cela fait partie de l’histoire de la Bretagne
  27. C’est la culture, notre patrimoine, c’est une fierté
  28. C’est la langue de ma région que mes grands-parents parlaient couramment
  29. C’est la langue de mes grands parents, de mon prénom et mon nom de famille
  30. C’est la langue de mes grands-parents
  31. C’est la langue de mes parents et grands parents ; ce fut aussi ma langue maternelle .
  32. C’est la langue de mon histoire
  33. C’est la langue de mon pays
  34. C’est la langue de mon pays, à laquelle j’ai un attachement fort. Je ressens la nécessité de devoir mener un combat quotidien pour sa sauvegarde, et beaucoup de frustration de ne pas pouvoir le faire.
  35. C’est la langue de mon pays, de mes aïeuls, de mon père. J’ai grandi avec cette langue, qui porte toute une culture vivante et vivifiante, forte, et belle. C’est dans cette langue que je me sens aimée, comprise.
  36. C’est la langue de mon pays.
  37. C’est la langue des mes ancêtres et elle fait partie de notre patrimoine culturel locale
  38. C’est la langue maternelle de 3 de mes grands-parents (le 4e était le seul à savoir l’écrire !). Je l’entends depuis que je suis petite mais malheureusement j’ai dû attendre d’arriver à la fac pour l’apprendre. C’était comme si on avait oublié de me transmettre une partie de mon identité ! Depuis je n’ai que peu d’occasion de pratiquer. Il faut que je reprenne des cours.
  39. C’est la langue originelle de mon pays
  40. C’est la region ou j’habite depuis toujours
  41. C’est le parler de mon enfance
  42. C’est le patrimoine de notre région
  43. C’est ma culture
  44. C’est ma culture de cœur, j’y attache énormément d’importance car ce sont les langues de mon pays
  45. C’est ma langue
  46. C’est ma langue maternelle
  47. C’est ma langue natale
  48. C’est ma region
  49. C’est mon patrimoine, ça me rapproche de ma famille qui parle breton.
  50. C’est mon pays
  51. C’est notre héritage
  52. C’est notre héritage
  53. C’est notre héritage et notre histoire
  54. C’est notre histoire
  55. C’est notre histoire
  56. C’est notre histoire, notre patrimoine, c’est également ce qui nous lie entre bretons, les expressions, tournures de phrases font parties de notre quotidien. Je pense que c’est également un état d’esprit. C’est aussi l’appartenance à un territoire.
  57. C’est notre identité, pour exister parmi les autres peuples du monde et perdurer les langues de nos anciens.
  58. C’est notre patrimoine, notre identité au même titre que la danse, le costume, les festou-noz les galettes, le kig a farz … kenavo
  59. C’est notre patrimoine, nous devons le sauvegarder et le faire perdurer
  60. C’est notre région, notre histoire, notre culture, notre patrimoine
  61. C’est un héritage culturel. Feal da viken.
  62. C’est un patrimoine et des racines à préserver et à développer
  63. C’est un patrimoine qu’il faut préserver. Cette langue permet d’interpréter des expressions qui lui est propre et qui ont peu de valeur dans un autre parler. Elle permet aussi la transmission de la culture et de l’histoire de la Bretagne.
  64. C’est une culture qui fait partie de nous
  65. C’est une langue faisant partie intégrante de notre histoire, de notre pays et de nos ancêtre. C’est une culture qui se voit disparaître de plus en plus et, seul la génération précédente ante (celle de nos parents) on pû la connaître au maximum.
  66. C’est une langue qui nous a été transmise, qui est trop souvent dite « morte », c’est notre culture
  67. C’est une langue régionale très connue mais peu parlé
  68. C’est une langue riche et d’un grand intérêt historique, et la langue de mes grands parents perdue à la génération suivante
  69. C’est une partie de mon éducation.
  70. C’est une richesse culturelle régionale qu’il faut préserver
  71. C’était la langue de mes ancêtres, je trouve intolérable que mes parents aient été maltraités à l’école parce qu’ils parlaient leur langue maternelle. Une langue c’est une façon de penser et on ne peut brimer un peuple.
  72. C’était la langue de mes grands-mères.
  73. C’est important de connaître ses racines
  74. C’est la langue de mes ancêtres, perdue depuis mes grands-parents
  75. C’est la langue de mes ancêtres, perdue depuis mes grands-parents
  76. C’est la seule qui exprime de manière complète le monde et la société dans lesquels j’ai grandi et vécu.
  77. C’est ma langue d’origine ! Mes parents, mes grands parents et toute ma famille parlent breton.
  78. C’est mes origines
  79. C’est mon pays , mon histoire …
  80. C’est notre culture et il ne faut pas l’oublier et mes grands parents parents parlaient breton
  81. C’est régional. C’est cool
  82. C’est toute mon enfance
  83. C’est une histoire
  84. C’est une vieille langue
  85. Ça fait parti de notre culture
  86. Ça fait partie de la culture et de lHistoire de la région, c’est important de les maintenir
  87. Ça fait partie de ma culture
  88. Ça fait partie de ma culture, de ma famille, de mon identité. C’est déjà assez peu présent aujourd’hui alors j’ai envie de continuer à parler et apprendre pour propager la langue plus.
  89. Ça fait partie de nos racines
  90. Ça fait partie de notre culture
  91. Ça fait partie de notre région d’origine
  92. Ça fait partie du patrimoine. Ce sont de belles langues, qui véhiculent une vision du monde. Il y a un important répertoire d’expressions, de chansons, de contes… dans ces langues.
  93. Ça fait partie intégrante de ma vie, de ma culture
  94. Car c’est la langue de nos pères avant nous, et simplement veillez à ce qu’elle ne disparaisse pas
  95. Car c’est ma langue régionale et j’en suis fière ! Je parlais breton avant de parler français
  96. Car c’est nos origines
  97. Car c’est un héritage de mes ancêtres.
  98. Car c’est notre langue d’origine
  99. Car ce sont celles de mon pays
  100. Car ce sont nos origines et je trouve cela important de pouvoir conserver au mieux le patrimoine régional
  101. Car cela permet de mieux comprendre sa région, sa culture et de participer de façon positive à une vie de groupe (ici la région). Et que l’apprentissage de plusieurs langues permet une ouverture d’esprit, de partage, de compréhension de l’autre : car on ne pense pas pareil en français, en breton, en catalan, en anglais, en basque, en galois etc… donc on ne s’exprime pas pareil. De plus, l’apprentissage dès le plus jeune âge de plusieurs langues aide à développer la plasticité du cerveau. Enfin, cette langue fait partie du patrimoine de notre région, et est plus ancienne que le français. Donc pour tout cela, il me semble important de perpétuer cette langue.
  102. Car elles font partie du patrimoine régional de la Bretagne et de sa culture, à laquelle je m’intéresse et m’identifie
  103. Car étant née en bretagne, y ayant grandit, j’ai pu m’imprégner d’une Culture régionale forte et persistante grâce au volontarisme d’individus ayant conscience de l’impact de la Culture sur la cohésion et l’inclusion. Le Breton est le reflet de cette Culture de partage, le préserver me paraît ainsi important.
  104. Car il est important de bien connaître ses origines.
  105. Car j’ai 15ans j’habite en Bretagne depuis toujours et j’etais en ecole bilingue (français / breton) jusqu’à ma fin de CE2 et j’aimerais enormément reprendre cette langue ! Et puis niveau régional c’est tres interressant !
  106. Car j’ai été à l’école diwan et que je suis dans la culture breton depuis toujours
  107. Car j’aime la Bretagne, c’est légende et j’aimerais apprendre à parlé breton
  108. Car j’étudie à Rennes et je pense que c’est important que préserver les cultures régionales
  109. Car je la pratique (langue bretonne)
  110. Car je pratique cette langue depuis la maternelle
  111. Car je suis bretonne
  112. Car je suis bretonne
  113. Car je vis en bretagne et que c’est le patrimoine culturel de ma région
  114. Car le breton a une histoire bien particulière et une culture forte
  115. Car le breton est parlé dans mon entourage
  116. Car sa une langue natale
  117. Ce sont des langues importantes qui ont cessé de se passer d’une génération à l’autre pour des raisons idiotes et elles ne doivent pas tomber dans l’oubli
  118. Ce sont les langues de cette terre et des gens qui l »habitaient et l’habitent encore
  119. Ce sont les langues de mon Pays!
  120. Ce sont les langues du pays
  121. Ce sont les langues historiques qui correspondent aux territoires de la Bretagne (histoire, géographie, etc.) et qui ont été interdites pour des raisons absurdes.
  122. Ce sont les langues maternelles de mes grands parents
  123. Ce sont les nôtres
  124. Ce sont mes origines et il faut evite de perdre son identité
  125. Ce sont mes racines et comme toutes les langues régionales je considère que ce sont des richesses, une partie de notre culture, un héritage à transmettre.
  126. Ce sont mes racines, la musique de mon enfance.
  127. Ce sont mes racines, ma culture.
  128. Ce sont nos origines
  129. Ce sont nos racines, d’où l’on vient, elles nous caractérisent
  130. Cela fait partie de ma culture
  131. Cela fait partie de l’identité, du territoire, et de la culture
  132. Cela fait partie de la culture
  133. Cela fait partie de la culture d’un peuple
  134. Cela fait partie intégrante de notre patrimoine culturel
  135. Ces langues font partie de notre identite
  136. Ces langues représentent ma culture, peut être davantage le breton. C’était la langue de mes grands parents et je voudrais qu’elle continue d’être perpétuée.
  137. Cette attachement vient de par mes origines , des récits raconter et du patrimoine culturel
  138. Chaque langue est une culture, chaque langue souligne une manière singulière de penser et de voir le monde
  139. Connaître et comprendre l’histoire (au sens large) de ma région pour mieux y vivre et la transmettre aux générations à venir.
  140. Connaître une langue, même de façon très lacunaire, me semble important pour comprendre nombre d’éléments patrimoniaux (histoire, expressions, toponymie, noms d’éléments de costumes, chants etc)
  141. Continuer à garder la langue un peu
  142. Culture
  143. Culture
  144. Culture
  145. Culture
  146. Culture et origine
  147. Culture, histoire, sentiment d’appartenance, joie de l’apprentissage
  148. Culturel
  149. Curiosité de la langue, langues intéressantes, pleines d’Histoire
  150. D’origine paysanne de basse bretagne la langue gallaise était encore présente dans ma jeunesse
  151. Danse (et amis qui parlent breton), histoire familiale (paternel gallo maternel breton), famille plus ou moins bretonnante
  152. De par mes racines
  153. De part toute ma branche maternelle bretonnante, dont je ne porte pas le nom puisqu’il est paternel d’origine française, par le pays dans lequel je vis, par sa culture, son histoire….
  154. Découvert au travers des associations de danse et musique + forte attaché a la Bretagne+ adore les langues
  155. Depuis la primaire jusqu’au collège, j’ai appris le breton mais pas en diwan, seulement dans le cadre »dihun » ( je crois que ça s’appelle comme ça?) et j’aime cette culture.
  156. Des façons d' »être au monde » irremplaçables et nécessaires à la liberté des individu.e.s et à l’égalité entre les peuples
  157. Doc’h a vro Leon on. Gellout a ran gwelout ar brezhoneg e anvioù al lec’hioù hag en istor ar vro. Ne ouezan perak met gant ar yezh-mañ en em sentan «  »er gêr » » daoust ma n’eus den ebet hag a gomz bzhg em familh.Je suis du Léon. Je peux voir la langue bretonne dans la toponymie et dans l’histoire du pays. Je ne saurais pas dire pourquoi mais je me sens «  »chez moi » » avec le breton bien que personne dans ma famille ne le parle.
  158. Elle fait partie de moi, même si je la parle difficilement. Ce sont mes racines, mon terroir et sa culture, mon pays et celui de mes aïeux, et avec ces derniers des souvenirs sonores, et j’aime l’entendre. En apprenant adulte cette langue familiale entendue mais non transmise, j’ai ouvert un coffre aux trésors. C’est une belle langue qui mérite certainement d’être aussi respectée que la langue française.
  159. Elle fait partie de mon identité
  160. Elles font partie de la culture des bretons et devraient être plus facilement accessible.
  161. Elles font partie de notre patrimoine
  162. Elles font partie de notre patrimoine. Importance de conserver, transmettre et valoriser les langues vernaculaires, cela fait partie de la diversité culturelle
  163. Elles ont un intérêt patrimoniale aussi important que la gastronomie, les édifices et le territoire breton en soi.
  164. Elles sont indissociables d’une culture qui me parle et à laquelle je m’identifie, une partie de ma famille a parlé breton et faire vivre cet héritage me paraît important, d’autant plus que ces langues sont en danger d’extinction.
  165. Elles sont là, comme la biodiversité. Elle exprime un regard unique sur le monde, comme toutes les langues.
  166. Elles sont le socles de notre culture. Si les langues disparaissent, la richesse immatérielle disparaît, et à leur suite notre singularité et tout ce qui fait de nous des êtres enracinés dans le monde…
  167. Elles sont mon histoire, mon identité et ma fierté
  168. Elles sont nos racines
  169. Elles sont notre culture et notre patrimoine
  170. Enfance en Bretagne et amitiés
  171. Environnement parlant breton lorsque nous rentrons dans le Finistère. Envie de le transmettre à notre enfant.
  172. Étant breton j’y suis attaché car j’estime que ça fait partie du patrimoine de mon pays, j’aime l’entendre et je souhaite son développement car c’est une partie de notre identité.
  173. Étant en licence de Breton il est évident que le breton est très important pour moi, j’ai toujours était intéressée par le mileu celtique. J’ai des origines celtique (bretonne) et c’est une vrai fierté, voir même une passion.
  174. Ezhomm hon eus gwrizioù. Ur memor eo ur yezh. Liesseurt a sevenadurioù a zo ken talvoudus hag ar bevliesseurted
  175. Fait partie du patrimoine
  176. Familiale
  177. Famille
  178. Famille
  179. Famille de mes enfants d’origine Bretonne
  180. Fils de bretonnants de langue maternelle qui ont souffert de l’action de l’état français contre les langues régionales, ma langue maternelle à moi est le français, indispensable pour une bonne réussite scolaire, comme tous les natifs post seconde guerre mondiale. Or, au contraire, être bilingue de naissance est un atout formidable pour différentes raisons. Je n’ai pas eu cette chance, sans en vouloir à mes parents.
  181. Fort attachement à la région et toute sa culture, la musique, la danse…
  182. Habite à Rennes
  183. Hêrezh ma zud
  184. Héritage familial (langue maternelle de mon grand-père n’ayant appris le français qu’à l’école)
  185. Histoire de ma famille, culture que j’adore et l’importance de transmettre et préserver le patrimoine linguistique
  186. Histoire familiale et attachement personnel au territoire
  187. Histoire, patrimoine, chance d’en voir
  188. Histoire/ancêtres
  189. Historique
  190. Historique, amicale
  191. Hor yezh hag hor sevenadur eo. D’am soñj ret eo da bep hini doujañ d’eus ar sevenadurioù disheñvel.
  192. Identité bretonne très importante pour moi
  193. Identité racine
  194. Identité, héritage
  195. Il est de notre responsabilité d’assurer leur pérennité et de limiter autant que possible les ravages que l’état central leur a infligé. L’inaction c’est la complicité.
  196. Il est important de faire perdurer la diversite des cultures
  197. Il est important de faire vivre une culture et la langue est centrale
  198. Il s’agit des traditions de notre région… Les langues sont du patrimoine culturel, et cela à une valeur inestimable à mes yeux ! Il ne faut pas perdre la richesse du Breton et du Gallo… De nos jours trop de langues disparaissent à cause de l’évolution de la mondialisation qui vise à unifier ce monde mais notre culture de la Bretagne doit transpercer cette unification. Ainsi nous gagnerons richesse culturelle ! Nous nous demarqueront de toute cette réunification ! Et surtout nous sauverons le patrimoine Breton…! Si cette culture était terne, lugubre et poussiéreuse, il n’y aurait aucun intérêt à la sauver, cependant, la culture Bretonne est tout l’inverse, elle est coloré, animé et chalereuse (crêpes, galettes, festivals, fest-noz, fest-deiz, défilés, costumes, spectacle, arts bretons, jeux bretons, bagads, musique…) ! La Bretagne à une véritable histoire, nous nous devons de la transmettre de générations en générations !
  199. J’ai appris la langue bretonne durant une grande partie de ma scolarité
  200. J’ai appris le breton à l’école donc j’ai grandi dans cette culture
  201. J’ai appris le breton à l’école, c’est la langue que je partage avec mes amis et avec laquelle j’ai grandi
  202. J’ai considéré que l’histoire m’avait amputée de ma langue maternelle. Il a donc fallu la réapprendre.
  203. J’ai des origines bretonnes donc je trouve ça intéressant d’avoir un minimum de connaissance sur les langues bretonnes
  204. J’ai entendu parler breton étant enfant, je travaille maintenant en breton, c’est un héritage familial.
  205. J’ai été élevée à Lorient et mon père avait plein d’expressions en breton de Quiberon totalement disparu aujourd’hui. Il ne nous a pas parlé le breton et je le regrette. C’est trop tard pour transmettre la langue, mes enfants sont adultes et je ne le parlait pas. Mais j’en ai gardé le goût de mon enfance. Une langue c’est une façon de vivre son rapport au monde. Je l’ai vécu, même si je n’en ai pas la langue courante.
  206. J’ai étudié en breton, ça fait partie de moi
  207. J’ai étudié le breton depuis mon entrée à l’école jusqu’à la fin du collège.
  208. J’ai fait diwan, j’ai pleins d’amis bretonnants.
  209. J’ai fait l’école diwan
  210. J’ai grandi en Bretagne, j’en suis partie et y suis revenue et parler le breton est un moyen essentiel de se réapproprier toute une culture
  211. J’ai quasiment toujours vécu en bretagne, ça peut etre interessant d’en connaitre la langue ancestrale
  212. J’ai toujours habité à Rennes, on a l’impression d’être loin de la langue bretonne et je trouve ça dommage. à part dans les écoles diwan, on ne nous l’apprend pas. j’aimerais apprendre cette langue, du moins en avoir des notions de base, ça traduit aussi un mode de vie, une façon de penser
  213. J’ai toujours vécu en Bretagne, mais à Rennes. A part dans les écoles diwan, on n’apprend pas le breton. je n’en connais pas un mot, je trouve ça assez dommage, j’aimerais apprendre plus sur la langue, qui doit aussi traduite un mode de vie breton.
  214. J’aime la culture bretonne .
  215. J’aime la sonorité du Breton, et toute la partie culturelle
  216. J’apprend le breton depuis la maternelle et m’y suis beaucoup attaché, quant au gallo, j’aimerais beaucoup l’apprendre.
  217. J’estime que chaque langue est importante et ne doit pas être vouée à disparaître.
  218. J’habite en Bretagne donc je considère que le breton fait partie de notre culture, même si en réalité je n’en n’entend pas parler quotidiennement.
  219. J’y habite et la culture bretonne est intéressante
  220. J’y suis attaché avant tout car c’est la langue de mes grands-parent. Ensuite car je pense qu’une langue reflète un caractère, une manière de penser, de vivre, d’être, une culture qu’il est très important pour moi de préserver tout en la faisant vivre et évoluer.
  221. J’ai été à Diwan et je m’y sent attaché depuis longtemps déjà
  222. J’habite en Bretagne et c’est une région à part entière. Elle mérite ces langues !
  223. Je le parle depuis l’enfance le gallo.
  224. Je m’y sens attaché car mes grand parents et arrière grands parents le parlent. J’en ai fait au lycée en option et ça m’a appris beaucoup sur la culture et l’histoire de la Bretagne
  225. Je me sens attaché à ces langues. Puisque pour moi c’est la culture et le patrimoine du pays. Car nous avons la chance que ces langues soient toujours un parlés sur notre région. Je pense danc que tout le mo de devrait avoir un peu de notions en gallo et breton. Cela pour ne pas que ces langues importantes dans la région soit placés dans dans la case des langues mortes.
  226. Je me sens attaché.e à ces langues par rapports à mes racines et de par l’endroit où je vis.
  227. Je me sens attachée à cette langue, même si je ne la parle pas, puisque mes grands parents la parlaient couramment et qu’il s’agit de notre langue régionale, qu’il est important de préserver.
  228. Je me sens attachée car elle fait maintenant un peu partie de ma vie et de mon entourage.
  229. Je ne l’entend pas assez
  230. Je ne parlais quasiment pas le français avant d’être scolarisée en CP (pas de classes maternelles- née en 1952). Attachement à la langue et à la culture basse-bretonne.
  231. Je ne suis pas breton mais suis amoureux de la Bretagne, et cette langue me fascine tout autant que la Bretagne
  232. Je ne suis pas bretonne mais ma fille oui. Et toutes les langues et traditions locales sont importantes à mon sens.
  233. Je parle Breton
  234. Je parle breton depuis ma naissance et je baigne dans cette culture.
  235. Je parle breton depuis mes 3 ans donc j’y suis attaché, j’ai grandi avec
  236. Je parle breton depuis tout.e petit.e. J’y suis attaché.e car elle fait parti de mon identité. J’entretiens un rapport émotionelle avec le breton. Et mes grands parents parlaient gallo.
  237. Je pense qu’il y a de l’importance dans le fait de connaître un minimum ses origines, ou du moins l’origine d’un lieu où on vit
  238. Je pense que c’est une partie importante de notre patrimoine culturel qu’il faut veiller à conserver
  239. Je pense que les langues sont un élément essentiel pour la préservation des cultures auxquelles elles sont associées, aussi ma grand mère parlait breton mais je n’ai pu la connaitre, et j’aimerai apprendre les langues parlées autour de moi.
  240. Je souhaiterais l’apprendre, je n’ai pas eu l’occasion enfant. Cela me paraît important, c’est un sacré bagage culturel régional, un élément fort d’identité
  241. Je suis attaché au breton car mes deux grand-père le parlait et que moi même je l’ai appris et regrette de ne pas avoir pu continuer à l’apprendre
  242. Je suis attachée à la langue bretonne car c’est la langue de la Bretagne et que j’aime cette région.
  243. Je suis attachée à la langue bretonne parce je l’associe avec des bons souvenirs (j’ai fait toute ma scolarité à Diwan), et parce que c’est la langue maternelle de mon grand père mais je n’ai jamais vraiment réussi à parler avec lui (il n’est pas très à l’aise avec ça), et pour moi la langue est aussi le vecteur de l’héritage culturel breton qui fait parti de mon identité
  244. Je suis attachée à ma langue et ma culture depuis petite, et je veux les défendre
  245. Je suis attachée au Breton car c’est la langue de notre pays et je trouve que JMG Le Clézio a bien parlé de cela en disant qu’une tempête semblait avoir dispersé les mots et que la sonorité du Breton a disparu ce qui est un drame.
  246. Je suis bercée dans la culture bretonne depuis toute petite, c’est encré en moi, c’est l’histoire de ma famille, de mon pays, c’est une richesse que je veux préserver et transmettre
  247. Je suis breton
  248. Je suis breton d’origine, attaché à la région et à sa culture.
  249. Je suis Breton et la langue bretonne fait partie de l’histoire de la Bretagne. C’est notre patrimoine. Sans elle, difficile de comprendre la manière de vivre et de penser des Bretons d’aujourd’hui.
  250. Je suis breton, j’ai participé au bonnet rouge et je me sens plus breton de par mon prénom Elouan.
  251. Je suis breton, je suis très attaché à la défense des langues minorisées et des différentes cultures « régionales », c’est pourquoi j’aimerais beaucoup parler au moins l’une de ces deux langues.
  252. Je suis breton.
  253. Je suis bretonnant
  254. Je suis bretonne
  255. Je suis bretonne, c’est mon identité territoriale première, avant même de me sentir française. J’ai toujours baignée dans cette culture, étant allée à l’école divyezh
  256. Je suis d’origine bretonne. Comme beaucoup, en apprenant le breton, je souhaitais me rapprocher des mes origines.
  257. Je suis indépendantiste
  258. Je suis né à Rennes et le breton est ma langue maternelle. Ma fille est scolarisée à Diwan bro Roazhon.
  259. Je suis né dans le Pays Gallo
  260. Je suis né il y a 69 ans dans un village entièrement bŕetonnant.. mon adolescence ont donc baigné dans la musique de cette langue…j’ai quitté la Bretagne à l’âge de 7 ans, puis j’y suis retourné chaque année en vacances chez ma grand-mère avec qui j’ai beaucoup pratiqué la langue…j’ai passé l’épreuve facultative de breton au bac à Paris…
  261. Je suis né natif du pays gallo et y vit . J’ai entendu parler gallo pendant mon enfance en famille et dans mon travail (ouvrier du bâtiment dans les années70). Mes points de repère gallèsant sont feu Gilles Morin et Albert Poulain. Parmi les «  »vivants » » Bertran Obrée et Jean Luc Ramel . j’ai un faible pour tous ceux qui font culture avec le gallo chant musique conte littérature et là il ya bien du monde et c’est tant mieux. Mon premier éveil à la question bretonne je le dois a Eugène Aulnette (j’étais adolescent) puis politiquement Christian Hamon, Yann Jégou .
  262. Je suis née « au sein » cette culture
  263. Je suis née en Bretagne mais ma famille vient du sud-ouest de la France
  264. Je suis particulièrement attaché au breton. à St Pol de Léon mes grands parents, oncles, tantes, le voisinage le parlaient; pas ma mère. Mais aussi notre région présente un typonymie très riche, leur signification est importante pour moi et ma descendance.
  265. Je suis très attachée au patrimoine breton dont la langue fait partie. Parce que je suis d’origine bretonne, mais surtout parce que j’y vis et que j’aime cette région (plus que des « liens du sang »)
  266. Je vis en Bretagne, je trouve cela normal que nous parlons breton, chacun est libre de parler une langue
  267. Je vis personnellement à l’étranger et c’est réellement là que j’ai compris que le breton était ma langue (même si je ne l’ai jamais apprise) et du manque que cela représente au niveau personnel, et aussi au niveau social et culturel. Mes grands-parents parlaient breton, la non transmission est un désastre pour la culture bretonne. Sans sa langue, la culture est vouée à disparaître.
  268. L’attachement à la langue maternelle, l’ouverture d’esprit et la compréhension du monde que la connaissance de la langue apporte
  269. L’histoire de la famille, l’idée qu’on doit récupérer ce qui nous a été volé
  270. L’histoire de ma famille.
  271. L’histoire et la culture qui va avec.
  272. L’histoire, l’identité ,le patrimoine à conserver pour mieux préparer notre future
  273. La beauté de la langue pour connaître un territoire il faut connaître sa langue
  274. La Bretagne
  275. La Bretagne
  276. La Bretagne est ma région d’adoption, la langue fait partie de la culture bretonne et il est important de la conserver.
  277. La Bretagne est une nation à part entière
  278. La Bretagne, tous les bretons y sont attachés, c’est lié à son histoire entre indépendance et dépendance ainsi qu’au caractère fort des bretons
  279. La culture
  280. La culture
  281. La culture locale
  282. La défense de ces langues est essentielle à la préservation de la diversité culturelle au même titre que la biodiversité. Elle est nécessaire pour vivre dans cet espace mondialisé qui gomme les identités, les nie pour imposer une culture dominante basée sur la consommation. On ne consomme pas une identité, on l’incarne, on la vit, on la fait vivre et l’on devient ainsi acteur de sa culture et non plus consommateur. Vivre une culture ancrée dans son territoire donne du sens à notre existence, d’autant plus fortement qu’elle est partagée par une communauté. Faire vivre sa culture c’est s’ouvrir à celle des autres et œuvrer à une forme de paix entre les peuples, dans leur diversité.
  283. La diversité linguistique est aussi importante que la diversité des plantes et animaux. par exemple, la monoculture est catastrophique, comme la mono race prim holstein etc…
  284. La diversité linguistique est culturelle est importante dans une société pour qu’elle puisse évoluer de manière positive.
  285. La langue d’une région est comme la langue d’un pays, sans elle la culture se perd.
  286. La langue de mes grands-parents
  287. La langue est un pilier indispensable de notre culture bretonne
  288. La nostalgie de mon enfance sans doute (chez les grands-parents bretonnants, ambiance « village » : attention aux autres, bavardages, contentement de peu entre potager et picot)
  289. La principale raison c’est mon arrière-grand-mère, j’ai plein de bon souvenir en breton avec elle.
  290. La tradition
  291. Langue = patrimoine = vision de mode
  292. Langue apprise dans l’enfance (école bilingue publique), lien affectif, richesse de la langue et de la culture, plaisir à la parler et l’écouter
  293. Langue apprise pendant l’enfance et plus trop pratiquée aujourd’hui sauf rassemblements exceptionnels entre bretonnants. Souvenirs d’enfance et sentiment d’appartenance à un groupe.
  294. Langue de la famille
  295. Langue de ma famille et de ma nation, elle représente notre passé notre présent et notre avenir
  296. Langue de mes ancêtres, liens culturels fort
  297. Langue de mes grands parents et de mes origines
  298. Langue de mes grands-parents
  299. Langue de nos ancêtres
  300. Langue de nos grands-parents
  301. Langue de notre région, indispensable pour comprendre le fonctionnement de notre vie
  302. Langue des racines, sentiment d’avoir été dépossédé, diversité culturelle, intéret du bilinguisme
  303. Langue familial et du pays
  304. Langue maternelle de mes grands parents, passionnée de musique bretonn de danse bretonne et de chant en breton, baignée dedans depuis petite
  305. Langue maternelle et culture à laquelle je me rattache
  306. Langue maternelle, parler avec ces amis
  307. Langue parlée par mes grands parents aujourd’hui décédés – disparition d’une culture.
  308. Langue régionale, forte identité bretonne
  309. Langues de ma famille
  310. Langues de nos parents de notre environnement et de notre histoire.
  311. Langues familiales et locale
  312. Le breton c’est la langue de mes grands-parents et du pays.
  313. Le Breton c’est ma vie professionnelle et amicale. Le gallo c’est ma complicité avec papy, presque une langue maternelle.
  314. Le breton est la langue de ma grand-mère (au passage, je trouve votre question sur le nom de famille totalement hors de propos)
  315. Le breton est la langue de mes ancêtres, mes grand-parents connaissaient à peine 5 mots de français avant d’être envoyé à l’école et battue pour cela.
  316. Le breton est la langue de mes grands parents, la langue de ma mère, notre langue à mon frère et moi. C’est aussi une des langues de Bretagne et à ce titre la plus à même à parler de la réalité de ce terrtoire. C’est un système de pensée unique, une richesse, une manière de décrire le monde bien trop négligée. Il en va de même pour le gallo, le lien affectif et familial en moins !
  317. Le breton est la langue maternelle de mes grands parents, certains ne parlaient avec leurs frères et soeurs qu’avec cette langue. Ma grand mère m’a raconté qu’on se moquait d’elle et qu’elle se faisait taper sur les doigts lorsqu’elle parlait breton. Je ne veux plus que cette langue soit considérée comme « honteuse » ou « déjà morte », comme on me l’a déjà dit lorsque j’évoquais mon envie de l’apprendre. Mes petites soeurs on pu etre en classe bilingue en maternelle et primaire, j’étais trop âgée pour y aller. Le fait qu’elles le comprennent et le parlent me donne encore plus envie de l’apprendre.
  318. Le breton est la langue maternelle de mes parents à qui on a interdit de le parler à l’école et qui sont tous les deux devenus ambassadeurs du français en l’enseignant à de jeunes bretonnants qui n’en connaissaient parfois pas un mot. Je me rappelle ( c’était dans les années 60) les entendre expliquer le français « en breton », à l’époque les écoles bilingues n’existaient que sous cette forme…
  319. Le breton est ma langue maternelle et au-delà de ça, elle fait partie de l’histoire de ma famille, de mon histoire. Alors oui, je peux apprendre pleins d’autres langues et m’ouvrir à pleins d’autres cultures, je peux essayer de sauvegarder pleins d’autres langues & culture, mais connaître celle qui fait que je suis moi, que nous sommes nous, est important je pense.
  320. Le breton est ma langue maternelle.
  321. Le Breton est une langue qui est reliée à nos origines et qui est intéressante à conserver
  322. Le breton et/ou le gallo c’est notre identité. Même si ces deux langues sont beaucoup moins connues et utilisées maintenant elles font toujours parties de notre inconscient et elle nous représentent. Comprendre la langue, entre autre, de comprendre le fonctionnement des populations.
  323. Le breton était la langue maternelle de ma mère et celle de mes grands-parents maternels. Lorsque je venais en vacances dans ma famille bretonne, j’entendais cette langue dont je répétais quelques mots mais qu’hélas je n’ai jamais acquise.
  324. Le breton était la langue usuelle de mes parents dans leur vie quotidienne. Je la considère donc comme ma langue maternelle, même si mes parents m’ont toujours parlé en français.
  325. Le breton représente mes origines, mon identité.
  326. Le breton. Parce que je l’ai appris dès petite en même temps que le français. Je l’ai appris grâce à mon père et mes grands-parents (qui me parlent tout le temps en breton) et j’ai fais Diwan et maintenant en plus de mes études je fais une licence de Breton.
  327. Le gallo est l’une de mes langues maternelles, le breton est une langue à laquelle je suis fortement attaché. Je parle aussi bien l’un que l’autre, mieux que le français d’ailleurs.
  328. Le gallo est la langue d’une large partie de ma famille, aujourd’hui vu comme une honte alors que nous l’avons parlé pendant des siècles. Je veux pouvoir le parler pour conserver la richesse de notre patrimoine, pour donner raison à l’accent qui m’a valu des railleries.
  329. Le gallo est la langue de ma famille, le breton est l’autre langue du peuple breton
  330. Le Gallo est la langue maternel de mes grands-parents maternel, le Breton celle de mes grands-parents paternel donc il s’agit de l’essence même de ma famille
  331. Le gallo est ma langue maternelle, parlé presque exclusivement jusqu’à mon entrée à l’école primaire.
  332. Le gallo est ma première langue
  333. Le gallo est parlé par mes grands-parents et la plupart des personnes âgées de mon village.
  334. Le patrimoine
  335. Le patrimoine culturel et linguiste breton est une richesse et en perdre la pratique/la mémoire engendrerait un appauvrissement énorme pour notre région.
  336. Les bons moments passé en breton: à l’école, en colo, en kafe brezhoneg, en fest noz, etc, la richesse culturelle, la fierté de mon grand-père que je parle la langue de sa mère …
  337. Les langues font partie intégrante de notre culture. Ne pas les maîtriser c’est être amputé.
  338. Les parler fait chier les gens de droite
  339. Leur beauté propre, tout le fond culturel auquel elles donnent accès, et la question des racines : renouer un lien rompu.
  340. Lien avec mes origines, mes racines
  341. Ma culture
  342. Ma culture
  343. Ma culture tout bêtement
  344. Ma famille est implanté en Bretagne depuis de très nombreuses générations. Je suis très attachée à ma région et j’aimerai la connaître mieux et en parler la (les) langue(s)
  345. Ma famille et mon attachement à la Bretagne, j’ai aussi travaillé au pays de Galles où le Gallois est parlé dans la vie de tous les jours et c’était vraiment chouette
  346. Ma grand mere parlait gallo
  347. Ma grand mère parlait gallo, j’en conserve de bons souvenirs… Le breton fait partie de notre culture, chaque samedi je l’entends aux fest noz et j’aimerais bien comprendre tous ces chants dont j’adore les mélodies… Malheureusement mon fils qui avait commencé le breton en collège en quatrième ne l’a pas retrouvé à son passage en lycée …
  348. Ma région, mon histoire
  349. Maintien d’une partie de la culture bretonne
  350. Mes enfants sont en classe de CM1 bilingues. Nous sommes breton et souhaitons faire perdurer nos racines et notre culture à nos enfants.
  351. Mes grand parents et mes parents la parle et je l’ai apprise dès la naissance
  352. Mes grands parents
  353. Mes grands parents étaient bretonnant.
  354. Mes grands parents parlent gallo
  355. Mes grands parents sont bigoudens et parlent bretons ce serait dommage de les laisser partir sans apprendre leur savoir
  356. Mes grands-parents étaient bretons mais ne l’ont pas appris à leurs enfants.
  357. Mes grands-parents par le breton
  358. Mes grands-parents parlaient breton et je porte un prénom breton
  359. Mes origines
  360. Mes origines personnelles
  361. Mes parents parlaient breton
  362. Mes racines
  363. Mes racines natales
  364. Mes racines sont bretonnes
  365. Mes racines, ma culture
  366. Mes racines/ c’est mon identité
  367. Mieux connaitre nos origines, notre histoire
  368. Mon attachement est profond, familial et je veux le transmettre à mes petits enfants
  369. Mon héritage et beauté de la.langue
  370. Mon identité
  371. Mon origine familiale
  372. Mon père a pour langue maternelle le breton, c’est une langue très présente de ce côté familial.
  373. Mon père est breton et j’ai vécu en Bretagne dans le Finistère une bonne partie de ma vie (donc plus breton que gallo)
  374. Mon père et sa famille parlent frallo (français-gallo) et ne savent pas faire la différence entre les deux langues. J’ai donc appris de nombreuses expressions gallos en pensant que c’était du français
  375. Mon père parlait souvent en breton avec mon arrière grand-mère. C’est un bon souvenir que je garde d’eux et que j’aimerais entretenir.
  376. Natif de Bretagne ces deux langues sont une part de ma personalité
  377. Nos origines
  378. Nos racines
  379. Nostalgie des assistantes maternelle à l’Ecole mat qui parlaient breton entre elles
  380. Notre histoire
  381. Nous sommes le premier pays à avoir été colonisé par le Bro C’hall. J’aimerais ne pas faire partie d’un peuple qui a le potentiel de nous envoyer à la guerre pour des raisons qui ne nous concernent pas du tout. On pourrait être une nation en paix avec le monde entier, un peu comme la Finlande par exemple . De plus, la langue Bretonne a sa personnalité qui lui est propre et qui permet de dire, de raconter d’une façon impossible à traduire en Français. Musicalement, elle a beaucoup de qualités que le Français devrait lui envier !
  382. Originalité, conservation, patrimoine
  383. Originalité, conservation, patrimoine
  384. Origine
  385. Origine celte
  386. Origine familiale
  387. Origines culturelles et régionales
  388. Par culture
  389. Par l’Histoire et les racines familiales
  390. Par respect pour mon pays de migration (je viens du Québec)
  391. Parce qu’elle fait partie à part entière de notre culture
  392. Parce qu’elle font partie de notre identité
  393. Parce qu’elles font partie de mon histoire, de mon patrimoine, de mon identité
  394. Parce qu’elles représentent mon pays, ma culture.
  395. Parce qu’elles représentent notre terroir
  396. Parce qu’elles font parties de la culture
  397. Parce que c’est la Bretagne
  398. Parce que c’est la langue de mes grands-parents
  399. Parce que c’est la langue parlée depuis plusieurs générations par ma famille, parce qu’elle permet de comprendre la géographie des lieux que je connais très bien. Parce que j’ai peur qu’elle disparaisse
  400. Parce que c’est notre culture, il faut la préserver, et je trouve que le breton est une belle langue qui n’est pas assez présente
  401. Parce que c’est notre patrimoine
  402. Parce que c’était la langue d’une partie de ma famille et une langue est l’essence même de la culture d’un peuple.
  403. Parce que c’était la langue maternelle de mes parents et parce que mon petit-fils a commencé à apprendre le breton il y a 5 ans.
  404. Parce que c’est censé être nos langues (mon père est du pays gallo et ma mère du Léonard)
  405. Parce que c’est mon identité et ma langue
  406. Parce que c’est un peu tout ma vie, venant de scolarité bretonnante
  407. Parce que ça fait partie de mon identité, mon histoire, mon territoire
  408. Parce que j’ai été un an en Erasmus à Rennes et je me suis très passionné à la Bretagne
  409. Parce que j’aime Breizh ma bro
  410. Parce que je parle cette langue depuis toute petite, qu’elle fait partie de ma vie (danse, chant, études…)
  411. Parce que je suis breton
  412. Parce que je trouve important de connaitre la culture de la bretagne et le breton en fait partit
  413. Parce que je vis en Bretagne
  414. Parce que le breton est et aurait du être/rester notre langue du quotidien,; à la maison, au travail , dans les loisirs. Le français nous a été imposé.
  415. Parce que le breton fait partie de ma culture en tant que bretonne, parce que c’est une langue qui, selon moi, permet de créer des liens bien plus rapidement qu’en français ! Le gallo je ne le parle pas mais je pense être «  »solidaire » » avec ceux qui le parlent »
  416. Parce que le Breton fait partie de mon identité et a forgé toute mon enfance et adolescence
  417. Parce que lorsque j’avais 8 ans, (j’en ai 10 fois plus aujourd’hui) l’on m’a mis à genoux sur une règle, pour avoir dit un mot de gallo.
  418. Parce que moi et ma famille sont d’origine bretonne
  419. Participe au sentiment de force régionale. Et personnellement lien avec ma famille d’un coté qui parlait breton et de l’autre coté gallo (mais la transmission ne s’est pas faite)
  420. Partie importante de la culture bretonne
  421. Partie intégrante de la construction de mon identité (pratique du breton depuis l’âge de 3 ans)
  422. Pas assez répandues
  423. Pas attaché car : Je n’ai pas été élevé dans une famille parlant breton / gallo. Intérêt / attaché : Les cultures / langues sont une richesse qui ne doit pas disparaître.
  424. Pas d’attache particulière au breton, mais je pense qu’il faut en maintenir l’usage, car comme toute langue, elle représente un des aspects de la diversité culturelle. Je serais moins « militant » sur le gallo qui est pourtant ma langue maternelle; je pense qu’il s’agit d’une langue orale qui est ou était utilisée dans un contexte particulier, dans le monde rural et paysan, et dont il faut admettre qu’elle semble aujourd’hui hors du temps.
  425. Pas d’attache particulière au Gallo si ce n’est un intérêt linguistique, énorme attachement à la langue bretonne que ce soit de par ma famille, mon éducation, mes goûts, … les langues sont une richesse
  426. Patrimoine
  427. Patrimoine
  428. Patrimoine culturel
  429. Patrimoine culturel
  430. Patrimoine culturel
  431. Patrimoine culturel
  432. Patrimoine culturel
  433. Patrimoine culturel transmission de savoirs
  434. Patrimoine culturel à ne surtout pas perdre car c’est une grande richesse!
  435. Patrimoine culturel en disparition, ces langues sont une part de ce qui fait qu’un breton n’est pas français
  436. Patrimoine linguistique et culturel et maternel familial
  437. Patrimoine oral, tradition familiale
  438. Peogwir e karan va bro hag e doareoù hengounel
  439. Pep yezh a doug enni he sell war bed. Ha hep brezhoneg pe gallaoueg n eus breizh ebet. Ar bobl a vev dre he yezh(où)
  440. Pour avoir accès à la culture bretonne, pour la diversité des langues
  441. Pour défendre la Bretagne.
  442. Pour des raisons culturelles et traditionnelles, familiales aussi pour me rapprocher de la langue maternelle de mes grands parents et perpétuer dans un certain sens leur héritage.
  443. Pour la culture bretonne et l’éducation que j’en ai reçu
  444. Pour la préservation de l’histoire bretonne et des histoires individuelles des anciens à travers la langue. Aussi pour essayer de rétablir une langue populaire et mouvante non dictée par une académie
  445. Pour la singularité de connaître une autre langue en France, que le français « langue officielle ». Pour ne pas la perdre et renforcer le sentiment d’être breton.
  446. Pour me rapprochez de mes racines, et pour ne pas perdre la culture et la manière de penser bretonne.
  447. Pour mes origines et pouvoir conserver mon identité
  448. Pour mon histoire familiale par attachement à mes origines et à la langue parlée par mes ancêtres
  449. Pour ne pas perdre notre culture
  450. Pour ne pas perdre un héritage
  451. Pour permettre le rayonnement de la culture bretonne
  452. Pour raisons culturelles
  453. Pour souligner mon ancrage territoriale, faire vivre une culture et des traditions et ses diversités
  454. Priorité est à donner à une maîtrise des langues d’échange nationales et internationales. Ce qui n’empêche pas d’assurer régionalement que les langues locales soient pérennisés et de permettre aux volontaires intéressés de les apprendre.
  455. Quasi personne ne le parle et en plus uniquement en Bretagne
  456. Quelque chose d’important a faire perdurer
  457. Racines
  458. Racines
  459. Raison familiale
  460. Raison sentimale. Langue parlée par les grand-mères, entendue dans l’enfance sans la comprendre. Raison linguistique : Defense et entretien d’un patrimoine. Intérêt pour les langues. Raison littéraire : plaisir de lire des textes comportant des expressions et manières de dire spécifiques à la langue bretonne.
  461. Raisons culturelles
  462. Raisons culturelles et patrimoine régional
  463. Raisons viscerales
  464. Reconnaissance d’un peuple, d’une culture
  465. Représentatif de notre culture, simple curiosité de nos origines
  466. Respect des aïeux / identité
  467. Richesse culturelle
  468. Sauvegarder notre culture celte et Bretonne, sans renier notre attachement à l ‘Europe et la France. L’union dans la diversité.
  469. Scolarité bilingue breton / français en maternelle et primaire + volonté de préserver et perpétuer l’identité bretonne
  470. Sentiment d’appartenance à une communauté, envie de defendre ces langues
  471. Sentiment d’appartenance à une culture
  472. Si le français est la langue nationale, les langues régionales ne doivent pas être perdues, auquel cas il s’agit d’un génocide culturel – souhaité ou non. Le maintient des l’identité régionale comme nationale doit être préservé mais non dans un but politique ou idéologique. Une langue régionale doit avoir sa place dans l’administration locale. Une culture et son langage, et plus loin sa religion, fait parti du patrimoine mondial.
  473. Si on perd ces langues on perd la culture, on est plus rien.
  474. Skolaj Diwan
  475. Tombé dedans quand j’étais petit
  476. Tous mes grands-parents parlent breton
  477. Tout simplement parce qu’avoir imposer une langue unique sur un territoire qui n’a absolument rien d’uniforme est une farce sadique.
  478. Toute ma famille du côté de ma Mère est du Finistère et j’ai vécu une partie de mon enfance avec mes Grands-Parents Bretons. Ma fille a suivi le cursus Mervent et parle Breton.
  479. Toute mon enfance à Diwan, et l’héritage culturelle familial
  480. Tradition et Localisme
  481. Transmission d’un patrimoine linguistique familial
  482. Un arbre dont on coupe les racines, meurt. C’est une question de respect et de dignité dans un pays soi-disant démocratique.Ce pays en sortirait grandi.
  483. Un attachement aux traditions
  484. Une langue c’est une vision de voir le monde, une façon de le penser. et donc le breton/gallo est la meilleur façon appréhender le monde en Bretagne puisque c’est la langue qui ci est crée.
  485. Une langue est représentative d’un peuple sur un territoire (façon de penser, environnement, culture, traditions, etc.). A ce titre elle doit être transmise, enseignée et valorisée. C’est la langue de mes ancêtres.
  486. Ur yezh komzet gant tud kar din, o vont war e dalaroù tamm ha tamm. Un tu da saveteiñ ar sevenadur hag an identelezh. Le breton est une langue parlée par mes proches, langue maternelle des grands parents. Elle disparait peu a peu. Derrière la langue se trouve une culture et une identité à preserver »
  487. Valeur culturelle
  488. Yedec’h mad
  489. Yezh va fobl eo.
  490. Yezh va zud kozh eo memestra!
  491. Yezhoù hot zadoù emaint anezho.
  492. Yezhoù ma bro Breizh int ha loc’h ennon

Avis négatifs (60)

  1. Aucun intérêt communicatif réel
  2. Aucun lien avec la langue
  3. Aucune
  4. C’est des langues régionales très peu reconnues
  5. C’est une langue régionale lointaine pour moi, plus folklorique qu’autre chose (expression utilisée sans caractère dégradant bien sûr)
  6. Elles ne sont plus utilisées dans la vie quotidienne
  7. Jamais eu de contact avec la langue
  8. Je n’ai aucun lien culturel avec la Bretagne
  9. Je ne la trouve pas jolie
  10. Je ne le suis pas
  11. Je ne m’y intéresse pas plus que ça
  12. Je ne m’y sens pas attachée car elles n’ont pas fait partie de mon éducation bien que je sois bretonne, et que mon attachement fort à la Bretagne ne passe donc pas par ce canal
  13. Je ne me sens pas attaché à ces langues car ma famille n’est pas d’origine bretonne et je n’en ressent pas un manque dans ma vie quotidienne en Bretagne.
  14. Je ne suis pas breton.
  15. Je ne suis pas bretonne
  16. Je ne suis pas bretonne
  17. Je ne suis pas d’origine bretonne
  18. je ne suis pas d’origine bretonne donc je n’y suis pas attachée
  19. Je ne trouve pas ca utile
  20. Je ne viens pas d’une famille bretonne, je suis en Bretagne que depuis mes études supérieures et dans une grande ville, do’c je suis entourée de gens venant aussi d’autres régions, donc je ne sens pas concernée par ces langues
  21. Je suis de l’île de la Réunion, si j’ai des ancêtres breton.ne.s je ne me sens pas particulièrement appartenir à cette héritage et à cette région.
  22. Je n’en vois pas l’utilité
  23. Langue morte sans intérêt.
  24. Langue qui n’est quasi plus parle donc difficile d’en être attaché
  25. Le but d’une langue est la communication. Sur ce point, il y a déjà une langue bien pratique utilisée par près de 100.000.000 de personnes. C’est toujours intéressant de garder une langue en vie, pour l’histoire, mais de là à vouloir l’entendre sur l’espace public…
  26. Le dernier locuteur (dont le breton était la langue principale) est mort dans les années 80. Depuis, le maintien de la langue bretonne (comme Flamande, ou autre) relève d’une maintien artificiel. On devrait accepter son statut de langue morte comme le latin (ce qui n’empèche pas son étude).
  27. Même si j’habite en Bretagne depuis ma naissance, je n’ai pas de famille bretonne donc je ne suis pas sensibilisée à ces enjeux.
  28. Mon nom est Breton, mais je suis Français. La Bretagne, c’est la France, et la France est unie et indivisible
  29. Non
  30. Non essentiel
  31. Parce que je suis avant tout français (cf art. 2 de la Constitution)
  32. Parge que cette langue ne se parle plus du tout ou très peu
  33. Pas de culture dans ce sens
  34. Pas de raisons juste un non-intérêt
  35. Pas intéressé
  36. Pas mes origines
  37. Pas une grande utilité
  38. Trop peu utilisé aujourd’hui
  39. Useless
  40. Ce sont des langues mortes et inutiles
  41. Comme le Latin, c’est une langue très peu utilisée et que je, comme beaucoup d’autres, considère comme morte, je pense qu’il est plus important de parler les langues universelles.
  42. Inutile
  43. J’suis pas breton
  44. Je ne connais personne qui la parle
  45. Je ne la parle pas et ce n’est pas utile
  46. Je ne les ai jamais parlés
  47. Je ne suis pas breton. Je n’ai jamais entendu quelqu’un parler ces langues donc je ne les connais pas
  48. Je ne suis pas breton
  49. Je ne suis pas bretonne
  50. Je trouve très bien que ces langues survivent afin de garder vivantes nos racines. Mais je déplore le côté un peu « sectaire » de nombreux bretonnants. C’est d’avoir mis l’un de mes enfants en école bilingue qui me l’a fait observer. De plus, plusieurs enseignants bretonnants de cet établissement possédaient un niveau déplorable en français écrit et je devais corriger le cahier de mon enfant. Tout cela m’a « refroidie ».
  51. Pas utile
  52. La réponse qui me correspondrait le mieux est : Indifférent
  53. On ne le parle plus donc je vois pas l’intérêt de savoir parler cette langue qui n’est pas maternelle pour nous
  54. On ne le parle plus donc je vois pas l’intérêt de savoir parler cette langue qui n’est pas maternelle pour nous
  55. pas attachée car les origines de mes parents Anjou, Normandie notamment
  56. Pas d’utilité dans ma vie actuelle et je préfère consacrer du temps à d’autres langues qui me seront plus utile dans ma vie comme l’anglais ou l’espagnol.
  57. Je n’affectionne pas particulièrement cette que je trouve pas « inutile » mais c’est que peu de monde la parle de nos jours donc nous n’avons pas forcément besoin de l’apprendre si elle ne va pas nous servir à grand chose plus tard…
  58. Ce n’est pas présent dans mon quotidien
  59. On est plus dans l’ancien temps, commencez par l’Anglais on verra après.
  60. Vague connaissance de la langue par les grands-parents / famille, mais pas spécialement attaché car pas appris à les parler : éducation et socialisation en français…